ANTSA TSY NANTSAINA ( VERSION GOOGLE TRADUCTION ) (Ny Andri-Fara)

                ...il y a 17 ans ; Je ne suis jamais retourné dans cette ville où je suis tombé ; Je ne sais pas pourquoi, mais aujourd'hui, juste après l'aube, il a atterri au carrefour qui nous mène. Tout mon corps semblait trembler étrangement, je ne pouvais pas me tenir debout mais mes jambes tremblaient, j'avais soudain le vertige, je n'avais personne sur qui compter, pas même une seule personne pour me soutenir. J'ai atterri sur le sol, je mesurais peut-être environ deux ou trois pieds ; Je viens de reprendre mes esprits et j'ai sauvegardé mon voyage pour recommencer par là. Je dois faire un autre chemin pendant quatre ou cinq heures, puis je reverrai le nid de mon père et de ma mère. Ce sont eux que je ne vois plus car ils m'ont laissé à l'épicerie, il y a cinq ans...
...Des maisons étalées sur le sol ; La maison que vous voyez est de couleur rouge. Ils possèdent une vingtaine de toits. Il y a quelques forêts qui ne sont pas de trop mais on ne peut pas les compter ; mais il y a un très grand arbre dans le coin du village, un peu à gauche. On dit qu'il a atteint 200 ans ; d'après l'histoire que j'ai entendue, ça n'en vaut même pas la peine. On aperçoit un étang pas trop grand pour le longe, l'anga et quelques roseaux ; décoré par ceux qui sont en difficulté et dans le besoin.
                 Il y a une grande pierre plate sur la droite où les gens lavaient le linge ou faisaient le ménage, car c'est dans cette piscine que coulent les petits canaux du nord de la ville ; où l'on voit une large vallée, couverte d'herbe d'un vert éclatant toute l'année. De l'autre côté de cette vallée, il y a un cimetière qui semble solitaire, un pauvre tertre sans aucune marque permettant de le reconnaître comme une tombe. À qui est cette tombe ? C'est toujours la question qui m'intrigue à chaque fois que je passe pour respirer et je dépends de l'arbre sur lequel je m'appuie si je regarde aussi mon passé. Non loin de là, mais un peu plus bas, vous trouverez plusieurs tombes qui ont différents niveaux et des inscriptions et des symboles pour identifier qui y est enterré et quand il a quitté le monde. Celle du sud de la ville est une petite route qui relie cette ville où j'habite à d'autres villes ; à environ trois kilomètres; C'est ici que se termine cette route.

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                A l'ouest, il y a deux écoles publiques, le premier et le deuxième niveau ; il y a aussi deux églises adjacentes, la catholique et la protestante, qui sont gérées par le MPF ; un pasteur vétéran de Londres, pas très blanc, plutôt maigre, qui y prenait soin. Le bureau du village est un peu éloigné de ces églises mais il est proche de l'école primaire. C'est là que se trouve le puits construit par l'organisation Mitiasoa. Il existe des bâtiments modernes semblables à ceux de la capitale, certains avec des toits de tôle, d'autres de tuiles ; mais il n'y avait qu'une seule exception qui était couverte d'herbe et elle était plus petite par rapport aux autres et si on la voyait de nous, elle était plus à l'ouest ; il a donc fallu un virage qui semblait tomber dans la falaise. Il y a une falaise de trois mètres dans cette petite ville où ne se trouvent qu'une trentaine de maisons ; ville des riches et des riches. Trois ou quatre ont des voitures, mais la plupart des autres ont des vélos et des motos. Celui de l'est est un grand village avec des pierres alignées et empilées les unes sur les autres ; on y voit également quelques forêts qui semblent se confondre avec la forêt de tapia et la forêt de roseaux ; recouvert d'herbe et de raquettes masculines très hautes. Il y a une grande ville derrière ce village et la route que je vous ai montrée depuis le sud y mène et y entre ; mais vous ne pouvez pas le réparer ou créer un raccourci ici, vous continuez simplement à y rouler. Quelqu'un a essayé de prendre un raccourci là-bas et on ne savait pas où il allait, mais il n'a même pas trouvé de cadavre.
Le côté nord est l'entrée de la ville, si l'on estime d'ici jusqu'à l'intersection de la route nationale, il y a dix kilomètres de route à parcourir à travers la vallée ; jardin; des rizières, des collines basses et des plaines couvertes d'herbe que l'on ne peut pas voir dans la capitale de l'ouest.
Il y a là deux grandes maisons et une petite maison, toutes deux situées à l’intérieur d’un mur à gaz. Il n'y a aucun ornement ni signe sauf un vieux pêcher et un goyavier qui ne porteront jamais de fruits dans la cour. Dans ces maisons, ou plutôt, j'ai perdu mon père et ma mère ; une sombre soirée d'hiver.


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                 Quatre hommes armés se sont suicidés devant moi. J'étais alors un enfant de cinq ans ; Je m'en souviens très bien, je n'oublierai jamais ma mère qui était complètement couverte de sang et qui est tombée la face contre terre à côté de mon père qui était sans vie. Le couple a gagné une petite somme d’argent sur le marché le matin ; moins de six mille mille furent tués et perdirent la vie de ceux qui virent le soleil.
J'ai maintenant 21 ans, je suis encore dans ma jeunesse. Je ne suis pas encore venu chez nous, je suis toujours en route.
             Il était tard dans la soirée lorsque nous arrivâmes à la ville que nous devions traverser pour nous rejoindre. Il y a quatre maisons à l'intérieur du mur en ruine du côté gauche ; Deux chariots allant vendre du carburant pour nous rentrer chez nous se font face devant et derrière. La rivière Ikalavariana nous accompagne sur la droite et tourne à gauche au bout de vingt minutes avant d'atteindre le pont de pierre. Il y a une route spéciale à gauche de ce pont, mais elle est couverte de forêt et pleine d'animaux sauvages comme des renards, donc je ne pouvais pas la traverser seule, j'ai donc préféré suivre la charrette. C'est cette ville qu'il faut traverser qui me surprend, on ne voit que deux eucalyptus. Les forêts d'ampanga et de voanjeva sont nombreuses et couvrent la route. Vous savez, on voit rarement pousser des goyaves et des roquettes mâles. L'herbe pointue qui pique les pieds et peut faire mal si vous ne portez pas de sandales est ce que vous devez traverser si vous traversez la haute vallée ouest. C'est plein de fleurs qui ressemblent à des cloches jaunes, j'ai vu une femme après avoir pris du bois de chauffage et l'avoir plié pour entrer dans le mur brisé, je me suis juste retourné pour la voir et elle était partie donc je ne pouvais plus la voir. J'accélérai un peu le pas pour chasser les chariots ; mais il semble que j'ai soudainement reculé à nouveau et que je suis reparti lentement.
                Il y avait de la peur ou quelque chose comme ça, mais j'ai préféré ralentir mon voyage ; mais le chariot derrière semble m'attendre, les traces des bœufs n'accélèrent pas. Cependant, l'obscurité est déjà tombée, le pont dont j'ai parlé était étroit et pouvait à peine passer ; J'ai tourné mon regard vers la gauche..., on dirait qu'il y a une force qui m'attire vers la forêt pour la traverser, dans le noir.

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                Je regarde à nouveau ces charrettes qui semblent s'attendre anxieusement en disant ; Comment voter ? en avant ou en arrière ! Un homme à l'intérieur du deuxième chariot m'a lancé un regard noir en me disant de rentrer parce que vous ne pouvez pas y aller. C'est ce que j'attendais et cela m'a fait courir, les rattraper et les rejoindre. Personne ne parlait sur la route, mais ils murmuraient tous dans leur cœur. Le conducteur du chariot avec lequel j'étais m'a offert une miche de pain et je n'ai pas hésité à la prendre et à la manger, mais le silence est revenu. Il me semble que je m'étais endormi là-bas, donc je ne me suis réveillé que lorsque j'ai entendu le bruit des enfants jouant avec le diable. La charrette a franchi le portail et je me suis demandé qui étaient ces gens qui m'avaient amené, mais il semble qu'ils aidaient à entrer dans la maison du frère de Dadafara. Moi, j’ai sauvé la petite maison où nous étions ; Je me souviens bien d'il y a 17 ans.
              Les murs sont moisis ; la maison est pleine et couverte de toiles d'araignées et les deux pièces et la cuisine sont tissées par de nombreuses araignées. Personne n'est jamais entré ici, dis-je ; les assiettes et les cuillères que je mangeais lorsque la famille de ma mère m'emmenait ici sonnent encore. Le tissu n'a pas changé ; Notre lit est toujours recouvert d'un drap, mais le blanc confectionné par ma mère est devenu noir. Personne ne l'a changé même si lui et sa femme m'ont quitté il y a 5 ans. Après tout, j'étais le seul et les proches de ma mère m'ont emmené sans même savoir ce que signifie rester à la maison. J'ai regardé le placard et la boîte où se trouvaient nos vêtements ; J'ai cherché les nombreuses lettres que mon père envoyait mais ce que j'ai remarqué ; il y avait une lettre dont il m'a dit qu'elle n'était pas en place. La bougie vacillait déjà ; J'ai commencé à me sentir somnolent et j'ai dû m'allonger sur le lit de mon père et de ma mère. J'étais complètement vaincu et la maison qui était ouverte m'a soudainement réveillé. Même si je n'ai pas vu l'homme qui me regardait dans la rue, je suis sûr qu'il est entré dans notre maison. Il m'a dit qu'il était mon frère et que mon père, son père et Dadafara, celui qui conduisait la charrette, sont frères, mais je ne m'en souviens pas car il a les cheveux à moitié gris.


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                Notre conversation était animée et elle n'était presque pas terminée jusqu'à ce que les oiseaux et les tarentules se rassemblent dans le ciel pour sauver à nouveau leurs nids, car ils ont peur du jour où ils ne sortiront que la nuit, alors ils devraient rentrer chez eux et se reposer. pendant un moment, mais ils sortiront la nuit. J'ai passé les cinq jours de mon arrivée à nettoyer notre petite maison ; Je ne suis pas sorti de ce mur de gaz qui était encore debout. Apparemment, il a plus de 200 ans.
Un jour cependant, je sortis le soir ; J'avais pour projet de remonter à l'ouest de la ville pour sauver le village afin de remettre le document certifiant mon déménagement et mon retour dans ma ville natale. Je n'ai pas tenu longtemps parce que le travail que j'y faisais était bientôt terminé, alors j'avais prévu de descendre pour rentrer chez moi. Non Certains habitants me connaissaient et beaucoup d'entre eux me paraissaient étranges, mais même si je les ai salués, ils ont simplement hoché la tête. Je ne savais pas à quel point les gens étaient habitués.
              Alors j'ai baissé la tête et je suis allé là où j'allais. Si j'ai levé les yeux, j'ai vu un visage qui ne m'a pas quitté l'esprit depuis 17 ans ; Je m'en souviens encore même si j'étais encore un enfant. Mon cœur était plein de colère, mais j'ai réconforté mon cœur pour ne pas susciter de colère mais pour être suffisamment calme pour faire face à ce qui pourrait arriver. Je ne sais pas, il vient de me dépasser..., il ne s'en souvient pas ! Il est monté sans se retourner, mais j'ai sauvé la colline couverte d'herbe, il n'y avait que des fleurs de lys et des roses épanouies blanches, roses et jaunes avec des taches qui couvraient cet endroit où je me trouvais ; J'ai légèrement incliné la tête pour voir ce qu'il faisait, mais il n'a même pas pensé à moi ; Je pensais, devrais-je suivre ou non, mais j'allais remonter, mais cela ressemblait encore à une inondation, alors j'ai gardé les escaliers déjà en mauvais état pour descendre vers celui vers lequel je me dirigeais.
                    Il était tard dans la soirée avant de rentrer à la maison et j'étais au lit car je n'avais même pas fini de cuisiner... ; Je suis très fatiguée, non seulement mon esprit mais tout mon corps, ma tête est vraiment chamboulée, le passé et le présent rivalisent dans ma tête.



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            Quand j'étais enfant, je souffrais de la main droite, alors ce qu'ils voulaient que je fasse, c'était de leur servir en échange de nourriture tous les jours... pour terminer les études, le salaire pour nettoyer ces toilettes standards, mais le retour est du riz, ils n'ont faim de rien, alors ils doivent manger. Je me souviens que lorsque j'achetais des bananes, il y en avait beaucoup qui étaient déjà pourries et c'est ce qui garantit la nuit et le jour. L'eau d'une personne... Mon âme a crié, je me suis assise sur le lit. Vraiment! Oui, je l'ai vraiment fait… il y a 17 ans…
               J'ai levé la main droite pour essuyer les cent larmes qui coulaient de mon visage, mais ils n'ont pas pu les essuyer, j'ai dû prendre un petit chiffon à côté du lit où j'étais ; il l'a simplement balayé ; Je l'ai regardé, mais il était mouillé de larmes ; des larmes suivies de soupirs, de profonds soupirs chauds, aveuglants ; J'étais seul parce que j'étais seul.
C'est le matin, c'est un matin étrange. Je n'ai pas bu, je n'ai pas fumé, mais c'est une étrange léthargie, j'ai mal au dos, j'ai tellement mal à la tête que je ne peux pas le supporter ; sueurs froides mais ma sueur coule à flots. Avez-vous de la fièvre ? Non! Mes pensées ont travaillé dur cette nuit-là. Je me suis levé, j'ai sauvé le poêle laissé par le feu et j'ai ouvert la tasse ; et j'ai bu l'eau à l'intérieur et j'ai mangé le reste du riz du déjeuner que je n'ai pas mangé le soir. C'était bon mais je n'ai pas mangé..., j'avais très faim. Alors je suis sorti, je ne sais pas où aller.
               J'étais sur le point de sortir de la ville quand j'ai vu une fille d'environ un mètre quarante, la peau lisse avec un seul cheveu bango tokana et une robe moulante et des chaussures aux pieds. Il vient de me dépasser ; Que puis-je faire ? Je n'en ai fait l'expérience que pendant une courte période et j'ai été surpris d'être à côté de la seule tombe que j'avais mentionnée avant de m'en rendre compte, mais une pensée m'est venue à l'esprit parce que j'étais progressivement accroché au bord de la tombe. J'ai vu une fleur de rose encore vivante et je pense qu'elle a été plantée ici récemment. Mais qui a fait ça... Ou la fille que j'ai rencontrée là-bas ?! Il semble qu’il y ait eu une force qui m’a poussé à sortir davantage pour voir la situation. À qui est cette tombe ? J'ai juste regardé autour de moi avant d'oser toucher ce que j'y voyais. Je me souviens que mon cœur a arrêté de battre mais je suis toujours en vie .

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             J'ai vu les noms de ceux qui ont vu le soleil, j'ai effacé le texte sombre, mais je n'ai vu que les noms de mon père et de ma mère. Non seulement j'étais motivé par la connaissance du secret de la tombe, mais je voulais savoir qui se souvenait d'eux et si c'était une famille ou quelqu'un qui voulait offrir des roses au couple. La rose que mon père aimait le plus, une rose rose. Je ne pouvais pas pleurer, je ne pouvais même pas émettre un son, mais mon visage était très embarrassé. J'ai pris le code rose qui était déposé là et je suis parti. Je ne suis même pas allé loin et j'ai rencontré à nouveau la fille là-bas et elle m'a arraché de force le collier de roses de la main. Dans un accès de rage, il n'y avait ni plan, ni soutien, et il me demandait une réponse l'une après l'autre ; Mais je n'ai pas répondu parce que les larmes ont commencé à couler..., j'étais complètement étourdie et je n'ai pas réalisé que j'étais déjà dans la voiture de la fille avant de recommencer à pleurer. 13 J'ai entendu mon père et ma mère dire avant de reprendre conscience, et il m'a serré l'épaule ; J'ai enfin trouvé mon frère, tu es celui que je cherche depuis 17 ans. Mon mari et moi venons juste d'arriver d'outre-mer, il a dit qu'il me serrait toujours dans ses bras. Il m'a emmené chez lui non loin de l'église protestante et il ne m'a pas laissé partir jusqu'à ce que je sois censé m'emmener dehors. Mais je n'ai pas attendu cela, j'ai demandé un moyen de sauver la maison du couple où nous étions à nouveau ensemble il y a moins de deux mois. J'étais très déprimé lorsque j'ai reçu un appel m'annonçant que le beau-père de ma sœur, qui n'était autre que celui qui avait tué mes parents, était décédé. Il était sans voix, comment peut-il faire cela, son cas a été jugé de l'autre côté, il ne le savait pas parce qu'il avait deux ans de moins que moi et quand lui et sa femme sont morts, la sœur de sa mère l'a pris et l'a libéré. c'est un désastre.
             Il a eu un accident de voiture parce qu'il allait trop vite et a quitté la route alors qu'il se dirigeait vers la ville et s'est écrasé juste avant le pont, à cause de plusieurs charrettes qui étaient déjà entrées mais il a quand même insisté pour entrer. Quatre vaches ont été tuées et huit conducteurs de charrettes ont été grièvement blessés, tandis que cinq charrettes ont été complètement endommagées ; c'est le résultat de l'enquête de la police. La belle voiture a été détruite lorsqu’elle a été sortie de l’eau.

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               Malheureusement, la personne qui l’a amené n’a pas perdu la vie. Je dis que c'est une chance parce que s'il était vivant, il supporterait les conséquences de ce qu'il a fait et serait triste jusque-là parce qu'il a tué quelqu'un.
Ma sœur et mon beau-frère m'ont rendu visite mais cela n'a pas changé mon cœur mais cela n'a pas détruit la paix ; que pouvons-nous faire ? Le péché du père est-il le péché du fils ? J'ai juste cédé, j'ai cédé comme un vero rentrant chez lui, où puis-je aller !
               Il y a un dicton d'un de mes amis qui dit : « Augmente l'amour et l'ennemi diminuera », mais moi je dis : « Si tu veux être aimé, pourquoi ne pas aimer ».
C'est trop soudain pour penser que dans le futur, il y aura un Appel qui résonnera dans mon cœur, et ce ne sera pas long, mais ma façon de penser est noyée. L'amer n'a pas besoin d'être avalé mais tôt ou tard, un doux sifflement touchera mon âme ; mon amour vivra, ma fierté sera réduite au silence. Je le chercherai partout et partout où je pourrai le trouver. L'ombre et le sourire ; Comment les sourires et le retour, les ombres et les rêves qui reviennent sont-ils en moi ? . J'essaie de perdre espoir, mais je ne perdrai pas espoir, j'ai apprécié la considération dans mon cœur des luttes de mon passé..., mon passé essayant de ne pas me souvenir.  Où est l'espoir qui a été crié à chaque campagne ; C'était l'été..., c'était un été confus, très chaud, de sorte que les fortes pluies ne pouvaient pas s'arrêter et que la quantité d'eau dépassait ce qu'elle aurait dû, inondant plusieurs zones de la capitale. Il n'y avait aucun endroit où l'on ne trouvait pas d'eau, de l'eau par-ci, de l'eau par-là ; où il restait un endroit élevé pour observer ; À propos de ces gens qui n’ont nulle part où aller. En conséquence, les berges des rivières sont brisées, tout comme les vaisseaux sanguins qui nourrissent de nombreuses personnes. D’innombrables zones de rizières sont inondées. Ce n’est pas encore la saison des vents violents, mais les mauvaises choses qu’ils provoquent sont déjà là.
Je vois que tous les secouristes et les dirigeants du gouvernement, ou l'exécutif et les législateurs, toutes les branches de ce pays bougent ensemble !


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                   On dit que la communauté est en train d'être sauvée, mais l'opposition montre que les élections anticipées se renforcent et gagnent le cœur du peuple. Ils distribuent du matériel que la majorité des gens peuvent se permettre mais qui en ont besoin, des paroles douces sont jouées, ils sont remis sur leurs propres fonds et payés de leur poche comme s'ils avaient une formation politique locale et du rock pour le bien. personnes. Alors les gens ne savent pas ou c'est eux qui veulent l'accepter ? Dans cette période difficile, j'ai essayé de raviver l'appel qui était dans mon cœur, donc ce sera un travail qui va monter et descendre, mais je crois que je vais le raviver à nouveau.
J'étais complètement au fond de moi, j'attendais qu'il joue à nouveau en moi, j'ai essayé de réveiller mon passé devant lui mais il n'est jamais venu.
              Je ne sais pas pourquoi ; J'ai compris le long souvenir et je me suis rappelé qu'il m'avait oublié. Malheureusement, mon âme est brisée ; Mon cœur est tellement désespéré..., combien de fois ai-je crié... !
Je ne suis pas satisfait tous les jours, mais je suis très riche ; Je me suis soudainement souvenu de quelque chose. J'ai enfin trouvé l'Appel dans mon cœur, l'Appel auquel l'histoire a répondu... Le voilà qui s'accroche à moi, il veut me prendre la main, mais il continue de s'éloigner de moi. Je l'ai rencontré il y a moins d'un an ; J'espérais être en contact avec lui mais, l'angle du désir qui ne se réalisera jamais m'a été séparé ; et ne sera pas accepté pour de nombreuses raisons différentes. À cause de la nature qui a arrêté notre relation. La convivialité, oui ! disons que c'est parce que mon cœur voulait le pendre mais que le sien hésitait à le pendre. Nos regards se croisaient toujours mais mes yeux n'osaient pas le regarder.
              Ma main voulait le serrer dans mes bras mais je n'osais pas, son amour était faible donc je n'osais pas en profiter. Suis-je un lâche ? Je ne sais pas. Il a dit :
" Mais ce qu'on appelle amour, c'est le mot qui unit, alors laissez-moi être honnête avec vous... ; mais une tribu qui ne s'ouvre pas et qui est toujours une. Qu'en dites-vous !?.


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                  Quelques secondes après la violente explosion, dispersant les rebelles et les chercheurs du royaume de justice, j'ai remarqué que la population devenait violente et l'Ansa à laquelle je n'avais pas pensé pendant près d'un an a de nouveau explosé. Ma fierté est à nouveau vivante même si on disait que je m'en fichais, mais j'ai honte s'il y a du sang malgache qui coule en moi. Plusieurs jeunes femmes se sont rassemblées autour de moi pour m'attraper, me serrer dans leurs bras ; je veux embrasser; tu veux me tuer; Je veux m'éloigner des soldats qui ne savent que tuer ; L'amour récompensé par l'histoire veut faire de moi un secret.
Qui sont-ils : « Miora ; Tsiaro ; ; Gaélle ; Tsanta ; Domoina; Mbolatiana; Oely Tiana ; Laingo ; Sarah; Evah ; Fiononana ; Lisy ; Henika ; Ulrich ; Oly ; Fenovola ; Meva ; Sariaka ; ... " , ils devenaient de plus en plus nombreux. Mais j'ai été surpris qu'ils semblent fusionner et qu'ils deviennent un seul visage et un seul visage ; alors celui que je cherchais il y a un an m'a embrassé et m'a restauré, j'ai été tué par les balles des miliciens qui n'ont pas épargné mon sang.
Je me suis levé lentement, j'ai refermé les yeux et je ne me souviens plus de ce qui s'est passé avant et de ce qui s'est passé après avoir repris conscience.
Mon petit ami et moi nous sommes fiancés avec succès et avons convenu que nous serions mariés jusqu'à notre mort. C'est une histoire inoubliable car elle a marqué ma vie persécutée à cause de l'injustice et de l'amour irréel. Peut-être que je suis triste et heureux, dites-vous ; c'est exact.
               Et vous ne pouvez pas nier sa vérité. Mais l’impensable Antsa semble éclipser ma vie et indéfinissable.
Mes yeux s'ouvrirent lentement, ce sont les premières choses que je vis. Mon amant et les médecins autour de moi et mes mains avec le soi-disant « sérum » destiné à rester en vie. J'étais très fatigué et je suis resté dans le coma pendant cinq jours. Dès que j'ai ouvert la bouche, je cherchais seulement mon fils, mais je ne le trouverai qu'une fois rentré à la maison. Les gens sont faibles face à une bataille, qu’il s’agisse d’une bataille de vie, d’une bataille spirituelle ou même d’une bataille d’amour. Une personne est entourée de guerre et si elle n'a pas de protection, elle se noiera.

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           Et en cela, cela provoquera une terreur et une peur indescriptibles pour l’attaquer. Il ne choisit personne et peut complètement détruire et tuer. C'est comme ça qu'il l'a eu. L'histoire est sans fin. Il ne savait pas comment contrôler ses souvenirs douloureux et a abandonné.
Vous êtes un être humain, agissant dans la vie chrétienne et dans le monde. Les gens ne vous épargneront pas si vous êtes intelligent. Il sera écrasé et détruit et la poussière finira si vous n'obéissez pas à sa volonté. Cherchez l'Appel auquel vous n'avez pas pensé, cherchez-le ; recherchez, assurez-vous de creuser et de rechercher le sens de votre histoire. Si tu es un homme, tu couvriras tes yeux avec ma plume, c'est une femme ; mais si c'est une femme, bien sûr, c'est un homme. Ansa ! Connaissez-vous la transcription de mon histoire ? Qui est-il et est-il un esprit ou est-il simplement un texte fait pour recueillir l'histoire ? Tout ce que je peux dire, c'est : cela existe, et vous ne pourrez pas le vivre ; parce que tu ne le verras plus, mais il te suivra toujours. Si tel est le cas, alors un nouvel appel remplira votre amour.




FIN











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